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 La Horde

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Norkad
Nev
Norkad


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Date d'inscription : 21/09/2006

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MessageSujet: La Horde   La Horde EmptyVen 22 Sep 2006 - 3:30

Morkeria a écrit:
Genèse de la nouvelle Horde

Morkeria restait immobile, prosternée devant Kakaï, le seigneur des flammes et chef incontesté du village orque d’Elmore. Attendant que celui-ci reprenne la parole, se questionnant sur le nouveau rôle dont il avait à lui parler et qu’elle devrait endosser, elle y réfléchissait, se remémorant ce qu’elle avait pu faire pour, et avec, la Horde jusqu'à ce jour. Qu’est-ce que pour elle était la Horde. Un regroupement des Orques, tentant de redonner un honneur a leur race, tentant de redonner la gloire a ce peuple, perpétrer la grandeur et la force de la civilisation orque…civilisation qui avait réduite à si peu de chose, par une alliance de faibles.

A ce que chacun sait, dans des temps anciens, les Orques régnèrent sur le monde d'une main de fer, ainsi était la voie de Paagrio... mais la défaite par les humains et elfes les a détruits, désorganisés, affaiblis. Le chaos régnait en maître depuis. Les Orques les plus vils ont perdu leur honneur et leur foi en Paagrio et son devenu des monstres. Mais parmi les plus nobles d'entre eux, les survivants de la guerre ont pu se replier en Elmore et perpétuer la civilisation orque. Mais quelle civilisation... complètement désorganisé, le village orque comptait quelques chasseurs qui finissaient bien souvent à errer dans les mondes étrangers, oubliant la condition des siens...

Toutefois, parmi eux, une poignée d'Orques braves et courageux se sont rassemblés afin de perpétuer le règne de Paagrio. Ces rassemblements Orques ont pris plusieurs noms avant de se regrouper, il y eu les Cendres, la Meute de Feu. Tous ces Orques dans l’espoir de voir renaître une suprématie de la race orque se sont regroupés dans un même clan la Horde telle qu’on en entend parler aujourd’hui, au travers de massacres brutaux et sanguinaires, était née.

Mais devant le surnombre des adversaires, ils furent contraints à s'allier avec les Elfes Noirs. Non par affinités, sinon que pour une motivation commune: la revanche tous les faibles, Elfes et humains qui étaient responsables de leur chute! Mais cette alliance d'intérêt touchait à sa fin... les Orques, trop fiers, se sentaient trop utilisés et finalement, n'y avaient pas beaucoup gagné... et les Orques veulent être seuls maîtres de leur destin... seulement, handicapés par le chaos qui régnait parmi eux, les Orques voulurent se réorganiser, se rassembler, reconstruire pour la gloire des Orques et de Paagrio.

La Horde faisait son chemin et beaucoup gardèrent au fond d'eux le rêve de reconquête, le goût du sang, la soif de pouvoir...

Kakaï, reprenant la parole, tira Morkeria de ses songes.

« Grande Démone Morkeria, avec les tiens de la horde, vous avez su vous montrer dignes de Paagrio. J’ai grand rôle pour vous tous, qui redonnera gloire à notre grande race.
Avec la trahison de Soral… »
Entendre ce nom rappela immédiatement les souvenirs des derniers événements à Morkeria ainsi qu’une odeur âcre de sang dans sa bouche.
« Soral le traître et l’empoisonneur… » Marmonna-t’elle le poing fermé. Les images de sa rencontre avec Soral lui revinrent de façon très claire.

La Horde rodait dans Aden pour y semer le carnage comme à son habitude. Tout semblait routine parmi les rivières de sang de monstre et d'elfes qui coulaient à flot. Mais lors d'un matin sanglant, après une chasse bien fournie, alors que tout allait pour le mieux, Morkeria eut un malaise. Très essoufflée, elle mit un genou à terre, et Paagrio sait au combien il en faut pour la faire fléchir! Mais cela pris une bien mauvaise tournure lorsque ses compagnons d'arme la virent s'effondrer en crachant un sang très noir et malsain. Très affaiblie, les Orques ne purent aller bien loin et la ramenèrent au village le plus proche pour la protéger des monstres errant dans la région. Floran, ce petit village avait le mérite de ne pas être tombé sous l'influence royale. Maints chamans de la horde essayèrent de soigner Morkeria, mais l'état de celle-ci ne faisait qu'empirer... les jours passaient sans que celle-ci ne puis reprendre des forces, sa constitution étonnante la gardait en vie, mais ça n’allait sûrement plus durer encore bien longtemps. Les Orques se rassemblèrent, Hordeux ou chasseurs errants, faisant passer le mot dans tout Aden, pour trouver une solution... mais en vain.

Quand tout à coup, alors que personne ne savait que faire, un orque que ne reconnu, arriva. Il se nommait Soral. Il était le premier Préfet du village, directement sous les ordres du Seigneur Kakaï, seul maître en Elmore, après Paagrio. Il avait la responsabilité des forces orques du village, ceci équivalait à contrôler tout dans la société orque, tant celle-ci et basée sur un système fort et autoritaire. Mais, malgré tous ses efforts, Soral arrivait tout juste à maintenir la sécurité du village, repoussant les loups et gobelins qui l'assaillaient. Il était bien navrant de voir une race de fiers guerriers, se résigner à se défendre derrière ses murs sans la moindre conquête victorieuse depuis longtemps.

C'est un Orque au visage glacial, au regard dur, et à la carrure impressionnante, lui donnant une présence charismatique, qui s'avança auprès de Morkeria, couchée sur un tas de paille. Tout le monde, sur la place de Floran, réalisant qui était Soral, se turent pour l'écouter, dans sa langue natale.

"J'ai vu un présage, au temple de Paagrio, me révélant la détresse de Grande Démone, Cheftaine de la dernière tribu guerrière orque en qui, seulement, la race peut compter pour le maintien de sa survie. Et j'ai prié Paagrio pour qu'il me révèle comment lui venir en aide. J'ai... j'ai en mon savoir comment trouver un remède à sa maladie. Mais ce ne sera pas tache aisée. La maladie ne peut être soigné que par la main de Paagrio lui-même, en portant une amulette bénie par celui-ci... mais… cette amulette n’est plus en ma possession…celle-ci est détenue par la Reine se terrant au fond de son antre de fourmis géantes... De plus, comme je ne pouvais vous trouver rapidement, j'ai déjà envoyé l'un de mes meilleurs jeunes chasseurs, Whoum. Mais je n'ai pas de nouvelles de lui déjà deux jours. J'ai peur que son cadavre gît maintenant au fond de cette grotte. C'est donc à vous d'y aller, pour sauver Morkeria et votre jeune frère Whoum. Dépêchez-vous, le temps est compté."

Crédules et désespérés, les Orques courageux s'unirent pour aller sauver le jeune chasseur et affronter la Reine des fourmis géantes.

Arrivés à l'antre du monstre, les Orques étaient prêts. Ils avaient blindé leurs armures et affûtés leurs armes. N'ayant peur de rien, ils avancèrent dans la cave humide en hurlant Paagrio, le coeur brave et la tête en avant. Ce fut le carnage de fourmis! Antennes, pattes, sang et morceaux d'insectes giclaient sur les murs de la grotte! Rien ne pouvait arrêter cette horde de barbares furieux, tant leur rage était grande! Mais le labyrinthe était grand et la recherche fut longue... Jusqu'au moment, où, lors d'un des rares silences, un gémissement d'une voix grave et râpeuse pu s'entendre. Les Orques crurent avoir enfin trouvé leur fier frère qui s'était rué seul dans l'antre de la bête. Et, dans la pénombre, c'était bien lui, Whoum, agonisant. Les shamans s'empressèrent de le soigner et les guerriers de le féliciter à coup de grosses frappes brutales et amicales. Cette bonne nouvelle avait redonné un zeste de motivation à la troupe inébranlable. Mais les réjouissances étaient à peine terminées que, d'un écho ténébreux, un horrible cri strident se fut entendre dans la galerie: la Reine n'était pas loin! On aurait même dit qu’elle les attendait. Il n'en pas plus pour donner un coup d'adrénaline à l'équipe qui, dans la même seconde, fonça en trombe, tous en même temps, vers la pièce d'où provenait le bruit. Morkeria affalée sur sa monture suivait de prêt. Lorsque le dernier virage fut passé, toute la troupe s'arrêta net, leur vue leur offrant un spectacle terrifiant: une légion de centaines de monstres peuplait l'énorme salle et, derrière eux, l'impressionnante Reine était là, comme prête à recevoir les Orques. Mais la pause fut très brève lorsque l'un d'eux cria Paagrio... tous suivirent, et dans un même cri de bataille se lancèrent au combat. Les Orques ne firent qu'une bouchée de la légion de fourmis géantes! Le carnage était sanglant. Lorsque était arrivé le temps d'affronter la Reine, le combat semblait durer une éternité. Mais les Orques semblaient avoir enfin trouver de la résistance. Le sang giclait des deux cotés! La reine se prenait des centaines de coups de haches et malédictions obscures, mais elle parvenait toujours à se relever. Les Orques, eux, prenaient des coups, mais ne bronchaient pas, inébranlables. Des troupes de fourmis continuaient d'assaillir le groupe. Lorsque tout le monde occupait la Reine au combat, Morgraan, derrière elle, réussit à monter sur le dos de la Reine. La Reine, rugissant et se tortillant dans tous les sens, tentait de projeter Morgraan. Mais juste avant que celui-ci ne fut projeté à terre à quelques mètres de la reine, il réussit à arracher de la gueule de la bête, une grosse et lourde amulette, enrobée d'un liquide visqueux. La Reine résistant à tous les assauts des Orques, mais l'objectif avait été atteint, les Orques, à bout de force, se replièrent.

Sortis de la grotte, les Orques purent enfin entamer les réjouissances: Whoum avait été sauvé, ils n'ont essuyé aucune perte, et lorsque Morkeria, se tenant difficilement à l'arrière du groupe à l’abri sur le dos d'un dragon, mis l’amulette autour de son cou, un tourbillon de chaleur entoura un instant la Grande Démone, après quelques toussotements rauques, elle releva la tête. Par la grande et puissante magie de Paagrio, des forces lui revinrent en un instant, la maladie qui la rongeait depuis des jours l’abandonna rapidement.
Aussi, suite à la bravoure de Whoum pour sauver Morkeria, la Horde, reconnaissante, lui a ouvert les bras. Et il en a été de même à tous les Orques qui se sont joints pour la même cause et qui ont prouvé leur bravoure au combat et leur honneur.


Dernière édition par le Ven 3 Nov 2006 - 18:03, édité 2 fois
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Norkad
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MessageSujet: Re: La Horde   La Horde EmptyVen 22 Sep 2006 - 3:31

Morkeria a écrit:
Glorieusement, la bande d'Orques purent retourner au village de Floran pour fêter ça à la manière orque, agrémenté de lynchage d'elfe imprudent dans les terres de Gludio. Là-bas, Soral les attendait pour les féliciter. Et leur dit en langue orque :

"Le peuple orque a de grands projets pour vous..."
Il fixa l’amulette que Morkeria portait à son cou, et un léger sourire lui vint en croisant le regard de la Grande démone.

La vision du visage moqueur de Soral ramena rapidement Morkeria hors de ses pensées. Et continua d’écouter le seigneur Kakaï :

«…les défenses des terres Orques sont bien affaiblies. Notre race a besoin de vous ! Avec la trahison et la mort de Soral… »
La mort de Soral le manipulateur, voilà qui la réjouissait bien davantage. C’était d’ailleurs cet événement, juste quelques heures auparavant, qui l’avait amenée devant le grand seigneur orque. Les images de ce qu’il venait de se passer lui revinrent, et à nouveau sans se soucier des paroles de Kakaï, elle se laissa entraîner par ses pensés.

Elle se remémora immédiatement le moment qui lui apporta le plus de plaisir, Soral défiant les Orques une dernière fois avant de s’écrouler sous l’assaut des Orques.

Tout avait commencé à Giran. Alors que les Orques s’entraînaient au combat à l’arène. Morkeria senti une étrange douleur à la poitrine. Depuis qu’elle avait été guérie par l’amulette de Soral, elle ne s’était pas sentie aussi faible. Elle essaya de résister à cette douleur, mais c’était peine perdue. Elle se plia en deux et empoigna l’amulette. Quand elle se redressa tous autour d’elle remarquèrent le changement, elle fixa tous les Orques autour d’elle, le visage crispé et le regard assassin.
Elle était si étrange…marmonnant pour elle il faut que les faibles périssent…il le faut…
Fixant quelques secondes un Elfe aux abords de l’arène, qui tenait la même amulette qu’elle serait contre sa poitrine. Après un rapide signe de tête à celui-ci, elle se jeta avec une rage extrême sur ses frères Orques. Plusieurs d’entre eux tombèrent rapidement sous la violence de ses coups. Les Orques ne comprenant pas grand-chose, cherchèrent à la calmer. Ils furent obligés d’utiliser leurs armes pour la maîtriser. Une fois à terre, elle et revint à elle…comme si une force étrange l’avait habité quelques instant et dirigeait ses actions.
Couchée sur le sable de l’arène, sa tête se tourna avec peine vers l’Elfe au bord de l’arène. Celui-ci, bien qu’un peu surpris affichait un léger sourire moqueur, il s’empressa de ranger son amulette dans un sac, et quitta les lieux rapidement. Morkeria leva légérement un bras le bras, et indiqua à ses frères l’Elfe qui s’enfuyait.
Il était rapide, mais les Orques n’en étaient pas à leur première traque à l’Elfe. Presque toute la meute orque courait en direction du nord dans les pas du fuyard.
Il ne restait à l’arène que quelques Orques, ceux qui avaient été blessés dans la rage de Morkeria, plus Kran et cette dernière, toujours à terre. Kran aida tout le monde à se relever, et installa Morkeria sur son dragon afin qu’elle rejoigne rapidement les Orques à la poursuite de l’Elfe.

La poursuite s’éternisait, quand les Orques croyaient pouvoir enfin l’attraper, celui-ci déchaînait les éléments, des violentes bourrasques ou des masses d’eau venaient ralentir la course de la horde. Mais les Orques déployaient une telle haine dans cette poursuite, ils n’allaient jamais abandonner. Alors qu’ils étaient plus très loin de Oren, Ashlor réussi à s’approcher suffisamment pour lui mettre un coup de griffes dans la cuisse. La blessure fut profonde. Plus que quelques mètres et le fuyard du s’arrêter mis à terre par la douleur.
La poursuite s’arrêtait là, au bord de la rivière juste au nord du passage de la mort, il restait immobile un genou à terre, une quinzaine d’Orques autour de lui, mais ne semblait pas s’en inquiété. Il tendit ses deux mains vers la rivière, et marmonnant une invocation dans sa langue, fit s’agiter les eaux…la rivière se mit à bouillonner. Les Orques intrigués reculèrent d’un pas. L’eau s’agitait de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle jaillisse en un tourbillon qui balaya les Orques. Ils se relevèrent, et sur le sol inondé, se retrouvèrent face à une araignée géante et sa suite. Ils l’avaient tous déjà vu, même combattus, ils étaient allés jusque dans son antre pour cette maudite amulette.
Les Orques se lancèrent dans le combat sans réfléchir, en tout il y avait une dizaine d’araignées. Ils frappaient en tout sens, découpant les monstres avec hargne. L’adversaire était de taille, même pour une meute d’Orques. Le combat fut violent et dura plusieurs minutes. Les bêtes tombaient les une après les autres, il ne restait bientôt plus que la plus imposante. Mais sous les coups d’autant d’Orques, rien ne peut espérer survivre bien longtemps. Quand le coup de grâce lui fut porté par la lance d’Eutanasia qui la transperça de part en part, une brume magique enveloppa le monstre, le faisant disparaître pour ne laisser au sol que le corps agonisant de l’Elfe. Theobald avait son pied sur le crâne de l’Elfe, il était prêt à l’achever comme on éliminerait un simple insecte. Lorsque dans leur dos, une voix forte et sûre d’elle les fût tous se retourner :
- « Je n’avais pas imaginé les choses ainsi. Mais ca n’a que peu d’importance. Et c’est donc à moi que revient le loisir de tous vous éliminer. »
C’était Soral, il avait probablement dû épier toute la scène. Très sûr de lui, équipé de ses griffes et de son armure de commandant, il chargea la troupe Orques. Les premiers coups de griffes furent dirigés à l’encontre de Morkeria. Celle-ci paraît les attaques tout en reculant, et Soral se retrouva encerclé par la dizaine d’Orques en colère. Le combat ne dura plus longtemps, même un commandant orque ne peut tenir dans un tel combat. Les hordeux le mirent à terre. Soral étendu au milieu des Orques, le visage tourné vers Morkeria semblait marmonner encore quelques menaces.
Eutanasia d’un coup de hache, mit fin à la vie du traître, la tête tranchée roula jusqu’au corps de l’Elfe, qui lui aussi avait succombé.

Cherchant à comprendre, les Orques fouillèrent les corps. Dans les affaires de l’Elfe, ils trouverent une lettre, signée de Soral. Celle-ci donnait des ordres précis, tout avait été organisé, de la maladie de Morkeria, l’amulette, jusqu’au combat à l’arène. Il cherchait à affaiblir la horde, voir même tous les éliminer. La dernière phrase enragea encore plus les Orques : « Gloire à Einhasad ! »
Un Orque qui adorait Einhasad, c’était inconcevable. Ils ramassèrent la tête tranchée du traître, emportèrent la lettre et rentrèrent au village orque pour rapporter les faits au seigneur des flammes Kakai.

Voilà les événements qui les avaient amenés devant seigneur des Orques. Il dictait maintenant comment réorganiser le peuple orque après cette traîtrise.

Ils étaient tous devant leur maître à écouter ses ordres.
« Soral avait un rôle important, il commandait les armées de notre peuple dans ce village et à Oren, notre peuple doit rester fort. Morkeria ! A toi de reprendre ce rôle ! Tu deviens la nouvelle commandante de la légion de feu.
Pour éviter qu’une pareille trahison se répète, la religion de notre père Paagrio doit être reorganisée. Il faut un shaman pour être responsable du culte de Paagrio, cette personne doit s’occuper des cérémonies, et surtout veiller à ce qu’il n’y ait aucun écart à notre foi envers Paagrio chez tous nos frères et sœurs. »

Ce fût Khalji qui fût choisit pour ce rôle. Quelque temps après il cédera sa place à Norkad.

Finalement cette trahison a renforcé la puissance de la Horde, lui a donné une meilleure organisation. Mais cela ne convenait pas à tous, certains refusaient l’appartenance à la légion, voulant rester aussi libres qu’avant.
Kakai proposa une troisième branche à la Horde, selon les anciennes traditions. C’est ainsi que Theobald devint le chef des loups de Paagrio, un groupe d’Orques considérés comme l’élite de la Horde.

Ils quittèrent tous le seigneur Kakai, satisfaits des événements. La horde avait gagné en puissance ce soir, il restait à le faire savoir à leurs ennemis.
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